Création de l’entreprise PENNEQUIN
Création par Henri PENNEQUIN d’une entreprise artisanale de maçonnerie à Mirebeau sur Bèze en Côte d’Or.
Création de l’entreprise PENNEQUIN
Seconde génération- Fernand PENNEQUIN- début de l’activité de terrassement
Début de l’activité de démolition
Troisième génération – Michèle, Bernard et Roland PENNEQUIN
Quatrième génération – Francis PENNEQUIN
Début de l’activité de recyclage
Ouverture de la carrière de Prenois
Cinquième génération – Jean-Baptiste et Pierre-Alexandre PENNEQUIN
Acquisition de MAGGIONI
Création par Henri PENNEQUIN d’une entreprise artisanale de maçonnerie à Mirebeau sur Bèze en Côte d’Or.
Fernand PENNEQUIN, l’un de ses 3 fils crée sa propre entreprise. Dès 1930 débute l’activité de terrassement. Après la seconde guerre mondiale, ce secteur se développe grâce à la mécanisation des moyens de production.
Première démolition réalisée par l’entreprise à la gare de Dijon Ville. L’entreprise PENNEQUIN s’installe à Dijon.
La troisième génération, Michèle, Bernard et Roland PENNEQUIN succèdent à leur père Fernand en créant la SARL PENNEQUIN. Un département dédié à la démolition est créé. L’entreprise déménage à Marsannay la Côte.
Francis PENNEQUIN intègre la société, c’est la 4ème génération. Les activités de voirie, de terrassement et de démolition se développent alors que les activités de maçonnerie et génie civil deviennent secondaires.
C’est la naissance du recyclage des produits inertes provenant de la démolition et le début du réemploi de ces matériaux sur les chantiers de terrassement et VRD. Cette nouvelle synergie fait face aux nouvelles données écologiques et économiques.
Une carrière de roche calcaire à Prenois est créée et ouverte.
Jean-Baptiste et Pierre-Alexandre PENNEQUIN, 5ème génération, rejoignent l’entreprise.
L’entreprise se diversifie en acquérant l’entreprise MAGGIONI, fabricant de produits et bétons prêts à l’emploi.
Fernand Pennequin, après la seconde guerre mondiale, achète au surplus américain des camions GMC. Ces véhicules issus de l’armée sont bien sûr kakis, il décide de les repeindre.
La première tâche est l’application d’une couche d’antirouille (minium) de couleur orange.
A l’issue de cette étape, l’argent manque pour poursuivre les travaux de peinture. Ainsi les camions resteront donc couleur antirouille et c’est cette couleur qui deviendra et demeurera le fameux “orange” de l’entreprise.